Date: 12 août 2011
Categories: Montages Mouche
Nokill Palm Family
Date: 12 août 2011
Categories: Montages Mouche
merci de m’avoir fait decouvrir votre site je viens de faire quelles anorexique je vais les essayer sur la dordogne du cote de beaulieu pour la fermeture
Bin mon grand, comme le dit Geo t’es à nouveau là et « pour notre plus grand plaisir » c’est presque peu dire. Tes montages, ton blog, tes photos sont de pures merveilles. Merci pour tout ça mon frère.
Toujours aussi admiratif de votre blog qui est pour moi l’un des plus beaux du web .Merci de partager avec nous vos montages qui sont source d’inspiration .
Bonjour gérard
Merci pour vos compliments et ce commentaire qui résume bien la force de votre passion et je vous souhaite pleins de belles choses pour les saisons à venir et peut être que nos chemins se croiserons un jour.
Concernant les photos de pêche ou les macros de mouches, désolé mais elles sont toutes faites avec un compact numérique Pentax Optio W30 (pas de place pour un reflex dans mon gilet) avec un peu de retouche (cadrage,couleur, netteté).
Encore merci a+thym
Chere collègue en Saint Pierre,
Toutes mes félicitations pour vos photos qui sont absolument exceptionnelles . Les prenez vous avec un réflex de professionnel, car le les trouve d’un formidable finesse de grain. Je suppose, vu ces qualités, que vous utilisez peut-être une chambre photographique car jamais une telle beauté de prise de vue ne pourrait être obtenue en numérique, ou alors je n’y connais plus rien en photo.
Je suis passionné depuis mes dix huit ans de pêche à la truite,au toc et à la mouche sêche, jamais au vairon mort car je trouve cette pêche trop mortelle et trop peu sportive pour les truites, que je remets à l’eau sans aucune hésitation, car le les préfére depuis plus de 20 ans vivantes dans l’eau que mortes dans mon panier, fut-ce sur un lit de fougères, comme les vieux pêcheurs me le conseillaient quand j’étais jeune, il y a longtemps!. Je cours les rivières de Midi Pyrénées depuis toujours,et je n’ai eu de cesse que de progresser dans cet art en fréquentant les meilleurs pêcheurs régionaux ou connus internationalement. J’ai été voir souvent les finales nationales de pêche à la mouche. J’adorais voir les concours de pêche en Garonne au toc du temps ou Larripa, conseillé par le célèbre Léon Foch, prenait sur les deux km de rivière qui lui étaient alloués 52 truite de maille en l’espace de 3 heurs de pêche. Le championnat des Pyrénées a été arrêté il y a longtemps et je serais curieux de voir à combien seraient les prises du nouveau champion si on recommençait en 2011 ce type de concours, ou théoriquement l’appatage était défendu, mais tous les pêcheurs lançaient à qui mieux mieux des grosses poignées d’asticots super dodus (de chez Lauze, à Manne, c’est lui qui avait les plus beaux). Temps anciens, ou il y avait beaucoup d’asticotiers qui asticotaient sans trêve ni repos (j’ai toujours préféré le ver de berge en eau claire,et de toute petite taille, et surtout la pêche en mouche sêche quand elles gobent, car je déteste fouetter l’eau, c’est encore plus le bagne que de peigner la rivière au toc par eau de neige! A l’ouverture j’ai eu la surprise de prendre au ver de berge une splendide truite sauvage, une fario au trois bandes sombres et aux gros point noirs typique de Garonne de 51 cm, au milieu de trois pécheurs ébahis, qui l’ont photographiée car je l’ai remiseà l’eau, et c’était vraiment la plus grosse de toute ma vie. Vous m’avez l’air tout aussi passionné que moi, et cette foutue passion me tient encore à 71 ans. J’ai parcouru la France entiére ou quasi, le Maroc ou j’ai pêché des truites superbes dans des rivières inconnues du Haut Atlas, que j’atteignais à pied aprés des heures de Jeep Willys sur le goudron,et la piste, puis des parcours scabreux sur des sentiers muletiers ou nous grimpions avec des motos de trial, jusqu’au point ou même le sentir muletier disparaissait, et nous devions laisser la moto contre un rocher et tenter d’atteindre à pied l’oued en bas, en terre inconnue, le Paradis perdu ou il suffisait de lancer sa ligne pour voir quatre ou cinq truites se précipiter sur nos appats… Même si celà ne se passait pas souvent ainsi, l’expédition en elle même était déjà le bonheur. et depuis dix huit ans le Léon, à la recherche de rivières sauvages et vierges, remplies de truites mordeuses, et j’en ai rencontré pas mal de sublimes là bas dans ce Nord d’Espagne ou de nombreuse rivières très poissonneuse descendent des Pics d’Europe, comme :le Rio Carés et le rio Sella, q en Asturies, il m’est arrivé parfois de faire des bredouilles totales, et d’autrefois, des pêches de « réos » (la truite de mer en espagnol )inouies, surtout un fameux soir ou seul sur un bras du Carés en amont de Panès, j’avais mal au bras à force de me battre avec des réos de taille parfois extraordinaire, qui ne bougeaient même pas au ferrage, toujours sur A4 de Devaux, en taille moyenne. ma mouche absolument préférée parmi les milliers que j’ai essayées.mes amis moucheurs espagnols trés pointus en montage (faut dire que là ou je vais, c’est vraiment le pays de la pêche à la mouche), ont surnommée cette mouche « la pillona » pour son succés quasi permanent sur ces rivières du Léon, à condition toutefois qu’elles daignent gober. J’arrête là mon speech et vous renouvelle mes sentiments les plus admiratifs pour votre splendide site, et vous remercie du très grand plaisir qu’il m’a donné.
je serais enchanté de vous connaître si l’occasion s’en présentait.
Gérard Boyer. Villeneuve Tolosane (Banlieue de Toulouse, Haute Garonne – France.
Un mot de vous me ferait bien plaisir, et d’avance je vous en remercie.
Salut gaillard,
Tu as repris le chemin du blog, pour notre plus grand plaisir.
Et comme d’hab, c’est le top.
Amicalement Geo